Entre Eco-quartiers et Habitats Partagés

Entre Eco-quartiers et Habitats Partagés

Habitats partagés types


L’éco-habitat participatif de Strasbourg

L’éco-habitat participatif de Strasbourg

 

eco-logis_credits.jpgAlors que la France semble un peu en retard en matière de "nouveaux habitats", la dynamique ville de Strasbourg rayonne par son innovation et son avancée grâce à ses curieux "Eco Logis"...

 

 

Un éco-habitat participatif

 

L’exemple français qui fonctionne le mieux est l’habitat partagé de Strasbourg, une ville déjà connue pour son implication dans les progrès de l’habitat. La ville de Strasbourg a été la première en terme d’habitat partagé, et a fait naître cette idée dans tout le reste du pays. Mais dans cette ville, les habitats partagés sont aussi des éco-quartiers. Cet habitat partagé est l’oeuvre de l’association “Eco-quartier Strasbourg”, qui depuis sa création en 2001 s’implique avec intérêt dans de nouvelles solutions plus écologiques pour la ville, et l’urbanisme est son principe fondamental. Cette association met en avant l’autopromotion, un type d’habitat participatif.

Eco-quartiers Strasbourg possède 18 groupes d’autopromotion en projet ou temrinés en Alsace et dans l’Est de la France, dont une dizaine dans les environs de Strasbourg.

 

 

Un mode de vie convivial et écologique

 

Un journal strasbourgeois a consacré un article à l’avis des habitants d’un habitat participatif de Strasbourg, le tout premier, nommé Eco-Logis. Depuis trois ans de vie dans cet habitat, les habitants organisent chaque matin des séances de sports légers pour commencer la journée avant d’aller au travail à vélo. Ils soutiennent tous un esprit écologique, et ont créé un jardin à côté de leur immeuble, dans lequel des vers peuvent se nourrir de leurs déchets organiques.
Il est dit dans l’article de “Rue89 Strasbourg” que souvent les habitants peuvent mettre jusqu’à dix minutes avant de rentrer chez eux après avoir passé le portail, car ils trouvent toujours quelqu’un avec qui parler, ou quelque chose à faire. Alors on peut constater que des liens amicaux se forment entre les voisins, qui semblent tous satisfaits de leur milieu de vie.

 

 

Le rayonnement strasbourgeois

 

A Strasbourg est prévu le plus grand projet que la ville ait connu depuis la fin de la construction de son centre historique. Il s’agit d’un éco-quartier franco-allemand, sur les deux rives du Rhin. Les chiffres sont très éloquents pour les prévisions de 2035 dans ce projet “Deux-Rives Strasbourg-Khel” : d’ici à 2035, 250 hectares environs seront construits pour plus 1 400 000 m2. Ce projet coûtera 500 millions d’euros sur les 20 ans à venir, pour assurer la création de 9000 logements et 8500 emplois.
Le but principal est de faire de Strasbourg une métropole européenne grâce notamment à l’activité portuaire qu’elle mènera grâce à ce projet sur les rives du Rhin. Le rayonnement de la ville sur l’Europe sera alors considérablement accru.

 

IMAGE_20151019_30216365.jpg

Projet de l'éco-quartier Danube autour de la tour Elithis au sein du futur quartier des Deux Rives.

 

 

Les affaires nationales

 

 

En 2010, le Réseau National des Collectivités pour l'Habitat Participatif (RNCHP) est créé à Strasbourg. Le but est de réunir les collectivités intéressées ou sollicitées par des projets d'habitats participatifs ou d'éco-habitats. En novembre 2010 a été organisé le Forum des éco-quartiers, qui a accueillie les rencontres nationales associatives de l'habitat participatif au Parlement Européen, et c'est alors qu'à été décidé la création du Réseau National des Collectivités. Le "comité de pilotage", qui a un rôle politique dans l'organisation, est constitué de collectivités et de représentants, et on retrouve les villes de Toulouse, Starsbourg, Lille, Bordeaux, Rennes et Grenoble. Mais les collectivités membres du projet sont beaucoup plus nombreuses et incluent par exemple Bègles, Paris, Besançon ou encore Metz et Montpellier, parmi d'autres. A ses débuts, le RNCHP avait 11 collectivités membres.
Il y a des enjeux et des conditions à respecter. Les enjeux sont le droit au logement, l'enjeu urbain de la construction et fabrication de la ville, l'économie sociale et solidaire (l'autopromotion par exemple), et la citoyenneté, car il est important que les citoyens puissent mener une action collective.


 

Source :

http://www.ecoquartier-strasbourg.net/index.php/terrain-s-d-initiatives-citoyennes.html

http://www.rue89strasbourg.com/index.php/2013/05/25/societe/habitat-participatif-ce-netait-pas-un-pari-gagne-davance/

http://www.territoires.gouv.fr/le-quartier-des-deux-rives-a-strasbourg-la-nouvelle-ville-sur-le-rhin

http://www.strasbourg.eu/developpement-rayonnement/urbanisme-logement-amenagement/projets-urbains/autopromotion-habitat-participatif/reseau-national-collectivite-habitat-participatif


30/01/2016
0 Poster un commentaire

La maison des Babayagas

La maison des Babayagas

 

616779-babayagas.jpg

Certaines des Babayagas, Montreuil

 

Habiter entre femmes retraitées célibataires dans l’entraide et le militantisme, voici le fou projet d’un habitat participatif autogéré, la Maison des Babayagas…

 

Un concept inédit

      

  A Montreuil, la maison des Babayagas est un habitat participatif autogéré, située au 8 rue de la Convention, en fonctionnement depuis février 2013.  Ce projet est né du désire de vivre entre femmes retraitées (plus ou moins âgées et souvent d’origine modeste) afin de créer une entraide certaine et de profiter de leur vieillesse tout en se consacrant à la vie associative.

      En effet, Thérèse Clerc, la fondatrice de la maison des Babayagas est une femme de 85 ans, militante féministe. De par l’idée d’une “maison de retraite” autogérée, basée sur la solidarité, le militantisme et l’écologie, c’est l’idée de la maison des Babayagas qui lui est parvenue en 1995, suite au décès de sa mère. Thérèse Clerc ne souhaitait pas être un poids pour ses enfants, et par là c’est une véritable philosophie de vie qu’elle a créée; pour elle “la vieillesse n’est pas une pathologie , c’est une belle période de l'existence, l’âge de la grande liberté”.

 

Des difficultés rencontrées et surmontées

                           

 

     Cependant, son projet, La Maison des Babayagas a été compliqué a mettre en oeuvre. La Sécurité Sociale y a d’abord fait barrage car cet immeuble est le premier en son genre et il ne rentre donc pas dans les cases administratives. Thérèse Clerc a du tenté de convaincre les pouvoirs publics de financer son projet sans succès. Il a fallu attendre la canicule de 2003 (qui a fait 19500 morts parmi les plus de 75 ans) pour obtenir un déclic institutionnel. Il lui a été proposé un terrain en centre ville par l’ancien maire de Montreuil, Jean-Pierre Brard.. L’association qu’est devenue La Maison des Babayagas, a également reçu une aide de quatre millions d’euros via le ministère du logement, le reste a été financé par la caisse des dépôts et l’OPHL (l’Office Public de l'Habitat).

 

Les Babayagas, des femmes actives et  engagées

 

Désormais cet immeuble est un lieu de vie où  réside un groupe de vingt-et-une femmes âgées de  58 à 88 ans. Les “Babayagas” sont locataires de l’Office HLM de Montreuil qui a réalisé cette construction. L’emplacement n’a pas été choisi au hasard, ainsi, la Maison des Babayagas est située dans un îlot du centre ville, rue de la Convention à côté de la Mairie, de la Maison des Femmes, d’un cinéma et d’un théâtre… Cette situation géographique leur permet de rester actives et mobiles un maximum.

Les conditions pour entrer dans cet habitat sont précises; partager une idéologie féministe et avoir milité au sein d’une association ou d’un collectif. Une grande motivation et un désir d’implication sont nécessaire, par exemple vouloir simplement se rapprocher de ses enfants n’est pas un motif suffisant. La maison des babayagas n’étant pas médicalisée, les résidentes doivent être en forme (physique et morale) même si elles s’occupent les unes des autres un minimum, chacune des membres doit d'ailleurs désigner une “personne de confiance” extérieure qui prendra des décisions pour elle si besoin est.

 

 

Une vie collective organisée

 

  Afin de fonctionner correctement, la Maison des Babayagas dispose d’une charte qui décline les conditions de mise en oeuvre des valeurs dans le quotidien des habitants de la Maison des Babayagas. Cette charte a été votée en 2006 en Assemblée Générale Extraordinaire et a été revue depuis par la ville de Montreuil et l’OPHLM Montreuillois. Elle comprend l’engagement personnel de chaque habitant (à savoir l’entrée, la vie dans la maison et éventuellement le départ), l’engagement collectif, la citoyenneté solidaire (une grandes valeur de cette organisation) et la rupture. Cette charte est difficile d’accès, elle comporte entre autre le devoir, pour chaque membre, de devoir consacrer dix heures par semaine à des activités associatives. De plus, une fois par trimestre, les Babayagas organisent  une sortie (souvent en Bourgogne).

 

  Le projet ne s’arrête pas là et Thérèse Clerc a également créé, au sein de la Maison des Babayagas, une université populaire (inaugurée le 13 octobre 2014), UNISAVIE, l’Université du SAvoir du VIEillir autrement. Cette université populaire propose une pédagogie active basée sur l’échange et les réflexions. Durant la période, novembre-décembre 2013, tous les mercredis à 19h15, l’association proposait le visionnage d’un film (apportant une réflexion sur la vieillesse ou le militantisme) suivi d’un pot et les vendredis à 17h des minis-conférences étaient proposées avec un spécialiste invité avec un débat à la clé.

                                                                                                Présentation de UNISAVIE                                                                 Programme de UNISAVIE du 6 novembre 2013 au 18 décembre 2013



La Maison des Babayas est aussi très présente sur internet, à travers de nombreux témoignages et reportages mais aussi via leur blog.

 

Un projet qui inspire

 

Malgré les difficultés rencontrées par le projet et une co-habitation pas toujours évidente, la Maison des Babayagas reste très innovante et a le pouvoir de révolutionner la vision sur la vieillesse en France, offrant de nouvelles possibilités. De plus, la maison des Babayagas est une grande source d’inspiration et de nouveaux projets similaires naissent à travers la France, à Lyon par exemple ou encore à Bagneux.

 



Pour aller plus loin…

-Plus de renseignements sur Thérèse Clerc

http://www.histoiresordinaires.fr/Therese-Clerc-87-ans-Le-voyage-a-ete-si-beau-_a1612.html

-Le blog de la Maison des Babayagas

http://www.encre-du-toit.org/2014/01/10/la-maison-des-babayagas/

 

Sources

http://madame.lefigaro.fr/societe/chez-babayagas-de-montreuil-070113-332134

http://www.encre-du-toit.org/2014/01/10/la-maison-des-babayagas/

http://www.liberation.fr/futurs/2014/02/02/les-babayagas-la-silver-solidarite-au-quotidien_977239

http://www.metronews.fr/paris/maison-des-babayagas-a-montreuil-des-retraitees-decident-de-vieillir-ensemble/mmfb!MfHCFcQuGzHt2/

http://www.educationpopulaire93.fr/IMG/pdf/Programme_UNISAVIE_nov_dec_2013.pdf

http://www.arte.tv/magazine/futuremag/fr/la-maison-des-babayagas-unir-ses-forces-au-quotidien-futuremag

http://gensol.arte.tv/babayagas/

http://www.lamaisondesbabayagas.fr/

http://www.psychologies.com/Planete/Societe/Articles-et-Dossiers/Ils-reinventent-la-vie-en-ville/4La-Maison-des-Babayagas-la-retraite-entre-amies

http://www.liberation.fr/futurs/2014/02/02/les-babayagas-la-silver-solidarite-au-quotidien_977239

http://www.planete-mutuelle.net/humavie/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=27


18/01/2016
0 Poster un commentaire

Quai de Brazza

 Quai de Brazza,

un audacieux projet

 

 quai de brazza bx.PNGProjet de l'habitat participatif de Quai de Brazza en vue 3D

La rive droite bordelaise accueillera d'ici peu Quai de Brazza , un habitat parpicipatif  audacieux au coeur du grand projet de réaménagement...

 

 

La situation géographique

 

    Cet habitat participatif se trouve quai de Brazza à Bordeaux sur la rive droite. Le projet se présente  sous forme d’un immeuble à deux corps de 6 étages. Il est prévu pour le stationnement 3 étages de parking. Les appartements s’organiseront sur 3 étages eux aussi. Enfin pour l’aspect de « groupe », cet habitat sera composé d’un jardin commun et d’une salle polyvalente en R+3 ( rez-de-chaussée + 3 étages ). Cet habitat conçoit de loger 20 familles au départ.

 

 

Les acteurs du projet

 

   Ce projet comporte  d’une part un maître d’ouvrage. C’est la personne physique ou morale, publique ou privée qui commandite le projet. Elle définit le cahier des charges, s’occupe des besoins, du budget de la programmation du projet dans le temps et des objectifs à atteindre.

Ici, le maître d’ouvrage est le COL. C’est  le Comité Ouvrier du Logement. En effet c’est une société coopérative de production d'HLM créée en 1951. Elle a un capital variable fondé sur les principes coopératifs de démocratie et de transparence. Ainsi chaque accédant ou locataire devient coopérateur et peut participer à la vie de la société. Le COL exerce trois métiers complémentaires : aménageur foncier, promoteur-constructeur et gestionnaire.

D’autre part ce projet comporte un maître d’œuvre. C’est là encore une personne physique ou morale, publique ou privée ; qui répond aux demandes du maître d’ouvrage et les faits réaliser.

Ici, le maître d’œuvre est L’AERA. Cela signifie : «Actions, Études et Recherches sur l‘Architecture ». C’est une association  loi 1901 donc une association à but non-lucratif. Ainsi, c’est le promoteur et l’accompagnateur du projet d’habitat groupé participatif. 

L’AERA dirige les recherches, échanges et débats publics. De même qu’elle est en charge des expositions et éditions sur les questions concernant l’architecture, l’habitat et la ville. En conséquence cette association vise à favoriser la qualité de l’architecture, de l’habitat et de la ville. Elle s’inscrit dans la perspective d’un « développement social durable » ainsi que du « renouvellement urbain ».

Elle travaille depuis 2003 à la mise au point de montages innovants dans le domaine de l’habitat participatif en particulier en accession sociale. Son fondateur est Stéphane Gruet, un architecte-sociologue toulousain : « Je voulais créer une structure pour promouvoir le débat public autour de l'architecture avec des thématiques croisées par le biais d'ingénieurs, de philosophes, de sociologues ».

  Par ailleurs, ce projet est aussi en partenariat avec le « Groupe des chalets », c’est une association qui «  rend le logement accessible au plus grand nombre depuis 1949 ».

  Cet habitat participatif est soutenu par la « Fondation de France », la « Fondation Abbé Pierre » et le PUCA (Plan Urbanisme Construction Architecture)

   En raison de leurs insertions dans le projet les futurs habitants font partis des acteurs principaux de « Brazza ».

 

 

Une séance pour comprendre 

  

Nous avons assisté à la 12ème et avant-dernière séance de programmation collective de cet habitat participatif au Centre d'animation Queyries.

La séance est animée par Stéphane Gruet, sociologue et architecte (présenté plus haut). De plus, deux architectes du COL étaient présents à la réunion. C’est eux qui ont répondu aux questions techniques posées.

L’assemblée comportait une quinzaine de participants dont les âges variés entre 30 et 75 ans. Certains sont seuls, d’autres en couples, il y aussi des retraitées. Tous ces participants ont en commun la notion de « partage ».

 Lors du tour de table, chacun se présente. Certains sont là depuis le début du projet ; d’autres viennent pour la 1ère fois. Les habitants sont progressivement cooptés selon une méthode qui n’a pas été abordée.

Les appartements seront vendus par Le COL sous forme de loft (sans cloison) sauf toilettes et salle de bain au prix de 2150 euros/m2, ce qui est très en dessous du prix du marché. Un surcoût de 250 euros /m2 doit être prévu pour les finitions. Cela présente l’avantage de laisser l’occupant acteur de son aménagement intérieur. De plus les aménagements ne sont plus dans ce cas-là soumis aux mêmes normes (par exemple accessibilité handicapés), ce qui allège les contraintes des architectes et les coûts.

Ces séances ont plusieurs objectifs :

-Faire connaître le projet

-Permettre aux futurs habitants de faire connaissance

-Décider de certains choix architecturaux

Lors de cette réunion, les participants votent à main levée pour choisir entre certaines options (où les accès sont-ils implantés sur la façade, les escaliers sont-ils couverts ou non ? Comment Le jardin suspendu sera-t-il protégé du vent ? Les garde-corps des loggias sont-ils occultants ou non ? Le toit déborde-t-il des murs ?) Nous apprenons qu’au cours des séances précédentes, le choix d’une salle polyvalente et d’un jardin partagé a été fait.

Nous comprenons cependant que les réponses consignées par la secrétaire de séance ne sont qu’indicatives et que les contraintes architecturales (coût, normes, technique et esthétique) seront les  plus importantes.

L’esquisse du projet projeté n’est que très floue. Des zones avec des orientations ont été choisies par les participants du début. Mais l’esquisse définitive ne sera validée qu’en janvier.

 

 

Observations retirées

 

 Tous les participant  s’impliquent dans leurs projets d’habitats et sont soucieux des matériaux, volumes. Ils luttent contre l’isolement  des gens âgés. Aussi ces habitants sont intéressés par le lien social, le partage. Ils peuvent devenir propriétaire malgré de petits revenus et veulent éviter l’exil rural.

Cet habitat permet à la mairie de valoriser des zones de friches et les zones inondables.

Néanmoins,  cet habitat semble particulièrement complexe à mettre en place. En effet, il ya des contraintes urbaines, des normes architecturales, des coûts et des goûts qui diffèrent selon les acquéreurs. Aussi, on relève une certaine incertitude

Car on ne sait pas si  certains participants  feront vraiment partie du projet.

Tout de même le calendrier est tenu et « le train démarre » qu’il y ait assez de candidats ou pas.

On constate aussi que même si le choix de la mise en commun et du partage est moteur au départ, à l’arrivée chacun souhaite avoir un espace individuel bien clos. Néanmoins, de tels projets ont déjà vu le jour, à Bègles par exemple.

 

 

 En bref

 

Ces nouveaux types d'habitats permettent aux intéressés d’organiser la conception de leur logement. En effet les futurs habitants participent concrètement à la programmation de leur logement : taille, emplacement, surface et disposition des pièces, et à l’organisation des espaces communs intérieurs et extérieurs : salle de réunion, ateliers, etc. Cette démarche consiste à remettre les habitants au cœur du projet. Cela entraîne une meilleure réponse à leurs attentes,  une réduction des coûts, une meilleure adéquation entre leurs besoins et leurs moyens, une plus grande solidarité entre voisins et une appropriation plus durable des logements.

 

 Sources

 

- Alternatives Economiques poche HS n°39 (en partenariat avec la revue urbanisme), La ville autrement, juin 2009, 144 p.

- Territoires n° 508 (mai 2010) Habitat coopératif : une troisième voie pour l'accès au logement ?

 

 http://www.habitat-participatif-lr.org/bibliographie-et-documentations/

 

 http://www.le-col.com/page.asp?ID=33

 http://www.edouardfrancois.com/projets/logements/details/article/145/quai-de-brazza/#.Vp06QfkbD-8

 

 

 


10/01/2016
0 Poster un commentaire